LES SEPT MERCENAIRES(The Magnificent Seven - 1960)Periodiquement, un village mexicain est rançonné par des hors-la-loi, et les fermiers qui veulent résister sont abattus. Excédés, ils engagent une troupe de mercenaires afin de leur apprendre l'art du combat et de les appuyer dans leur défense lors de la prochaine visite des pillards.LE RETOUR DES SEPT(Return of the Seven - 1966)Deux anciens mercenaires qui avaient jadis défendus des paysans mexicains réforment un équipe pour aider ces mêmes paysans, enlevés par un propriètaire d'hacienda qui les emploie comme esclaves à la construction d'une église.LES COLTS DES SEPT MERCENAIRES(Guns of the Magnificent Seven - 1969)A la fin du XIXe siècle, le Mexique vit sous le régime de Diaz. Quintero, le seul à pouvoir réunir les groupes révolutionnaires est arrêté et enfermé dans un fort. Son lieutenant met tout en oeuvre pour le délivrer. Pour cela, il engage plusieurs hommes. Mais la peur que Diaz fait rêgner dans le pays rend leur mission difficile...LA CHEVAUCHÉE DES SEPT MERCENAIRES(The Magnificent Seven Ride! - 1972)Le marshall de Magdalena, associe au shériff de Sheridan, engage cinq tireurs d'élite au passé douteux. Ils transforment la ville en bastion et éliminent les bandits de Juan de Toro.
Disaster movies used to work because there was little certainty as to who would survive. Not so in this film, really an amalgam of two original stories, about a group of well-to-do celebrants at the top floor of a skyscraper. Cheapo electrical wiring and bad construction management cause an enormous blaze at the lower floors, steadily rising to consume the revelers. Newman's an architect, McQueen a firefighter, and Fred Astaire a kind old gentleman, for which he was Oscar-nominated. O.J. Simpson plays a security guard who rescues a cat. Now that's a disaster.
Toutes les personnalités en vue de San Francisco se sont données rendez-vous ce soir-là pour l'inauguration du plus grand gratte-ciel du monde. Mais il suffit d'un court-circuit pour transformer une soirée en terrible cauchemar : quand le feu commence à se propager, il est trop tard pour s'échapper...